MobiliWork offre une aubaine aux patrons d’entreprises de mieux s’entendre et de mieux développer le secteur de l’emploi de nos jours ? En 2015, trois Lyonnais ont créé une start-up qui va révolutionner dans le monde de l’entreprise grâce à ce prêt de salariés. C’est un concept moins utilisé mais qui est encadré par la loi. Au final, les employés et les patrons des deux sociétés y trouveront chacun leur compte avec MobiliWork.
La mobilité temporaire des salariés volontaires
Le nom de MobiliWork vient même de cette mobilité temporaire en engageant un salarié qui est prêt à travailler dans une autre entreprise. L’aspect numérique a été apporté par Jérôme Gonon et ses associés. Les besoins de chaque société sont analysés pour pouvoir mettre en œuvre cette start-up dans la réalité. Chacun y gagne dans cet échange temporaire, c’est le but final de MobiliWork.
Le système gagnant-gagnant pour MobiliWork
Le prêt de salariés a comme objectif de puiser dans une autre société les richesses intellectuelles et compétences même du salarié pour une déterminée. Etudier l’offre de l’autre entreprise et examiner ses besoins pour ainsi répondre à leurs attentes dans l’échange temporaire de salariés. Pour la société prêteuse, en cas de chômage partiel ou de licenciement économique, en quelques mois, envoyer un employé dans une entreprise ne fera que du bien à la société. L’employé quant à lui recevra son salaire comme chaque mois, salaire payé par la société hôte en passant par son entreprise actuelle. MobiliWork compte actuellement 250 à 300 sociétés en tout. Le gain de temps pour chaque partie est aussi un privilège, oubliez les passages de recrutement, de formation, de réadaptation des employés. L’inscription coûte une dizaine d’euros selon la société, les PME ont validé cette start-up lyonnaise qui tentera l’international tôt ou tard.