Economie

Heineken veut avoir un impact positif en Afrique

La longue lecture de la publication intitulée « Heineken a-t-il rompu sa promesse en Afrique ? » et le livre qui se cache derrière l’article contient un certain nombre d’allégations concernant les opérations de la société en Afrique. L’entreprise a indiqué ne pas souscrire à la majorité de ces affirmations, qui font référence à des événements qui auraient eu lieu il y a plusieurs années, voire plusieurs décennies, mais qui sont présentées comme s’il s’agissait de problèmes en cours.

Par ailleurs, lorsqu’on prend conscience des problèmes à résoudre pour la société, la première chose qui vienne à l’esprit est que Heineken doit prendre des mesures claires et décisives pour améliorer leurs pratiques commerciales sur le continent africain.

La situation des travailleurs en Afrique

Lorsque des allégations ont été formulées concernant la sécurité et les conditions de travail des promoteurs de marque travaillant pour la société en Afrique, ils ont pris cela au sérieux. Avec la participation des promoteurs de marque et des ONG, la société a créé une nouvelle politique de promotion de marques qu’elle a mise en œuvre sur tous les marchés.

Voici une vidéo expliquant ces faits :

La majorité des promoteurs de marque étant embauchés par des agences et travaillant pour de nombreuses entreprises. Heineken a travaillé en étroite collaboration avec d’autres sociétés pour susciter un changement de secteur plus vaste. En conséquence, plusieurs de leurs pairs ont aussi publié de nouvelles politiques relatives à la promotion.

Le lien entre l’Afrique et la société

L’Afrique est une partie importante de l’histoire d’Heineken. Ils sont en Afrique depuis plus de 100 ans. La société est présente dans 21 pays et emploie 13 500 personnes. A une époque où d’autres entreprises ont quitté le continent, la société a continué à investir.

Au cours des dix dernières années, ils ont investi plus de 3 milliards d’euros. Heineken tire des bénéfices disproportionnés de l’Afrique, gagnant plus d’argent par bière.

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