Plusieurs pays ont trouvé chacun leur avantage dans la réalisation des projets de l’économie circulaire. Le recyclage y contribue amplement tant dans la revalorisation du ramassage de détritus dans les quartiers en Ouganda que dans la campagne « zéro déchet » en 2002 dans la ville de San Francisco. Les implications dans cette opération sont palpables mais des difficultés dans l’aboutissement du projet sont à constater malheureusement.
L’ascension du Zéro déchet, zéro gaspillage
La loi sur la promotion de l’énergie circulaire a été dotée officiellement en 2008 par la Chine avant d’être adoptée sept années plus tôt. L’initiative se répand par étapes dans plusieurs pays dans le monde. Le résultat ne répond pas à l’attente des autorités partant du fait que le taux de déchets élevés qui est représenté est assez modeste. Pourtant, les efforts ont été fournis comme le parc dits « éco-industriels » dont le but de rassembler les industries complémentaires. A titre d’exemple, le parc de Suzhou près de Shangai, c’est une société qui retire les composants usagers d’une autre afin d’extraire les métaux précieux.
L’écologie industrielle
Les recyclages en plusieurs étapes sont multiples comme la récupération des vapeurs d’usines par le biais d’un pipeline pour chauffer la ville. Plusieurs pays européens se ruent dans ce genre de pratique pour plus ou moins suivre le modèle des économies d’Europe du Nord. L’image de l’écologie industrielle est constatée dans les pays comme le Danemark, Pays Bas, Rotterdam avec son bio Port. L’économie circulaire doit privilégier l’éco-conception dont la fonction de son cycle de vie revient à l’étape de la construction à la destruction. L’économie circulaire a toute sa place dans le monde et s’intègre peu à peu dans chaque pays, tout en sachant que l’ampleur du recyclage s’étendra à très grande échelle.
